Traduction de Federica Martucci aux Editions Actes Sud-Papiers
« L’écriture de Laura Forti ne s’embarrasse pas de circonlocutions. Elle appelle un chat un chat et une prostituée une pute. De même, la dimension politique (l’immigration clandestine) de sa pièce ne passe pas par le prêchi-prêcha, mais par une structure dramatique lisible, des personnages bien dessinés, des situations caractérisées et des dialogues immédiatement intelligibles. Efficacité théâtrale garantie. La metteuse en scène Justine Heynemann l’a parfaitement compris, car elle n’ajoute rien au texte, elle se met à son service. »Vincent Cambier les trois coups